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Récolte printaniere

Puisque la pêche se déroule en nature et que la nature ne contient pas que des poissons, je me suis permis un petit écart de conduite; afin de vous présenter de petits trésor présent en nature; que vous pourriez récolter lors de vos excursions de pêche printanière. Qu’est ce que dame nature nous permet de récolter au printemps et comment utiliser ces précieuses denrées, voila le but de ce court article sans prétention.

 

Morille

La morille

Verpes

Le printemps est la saison de toutes les émotions! grosse truites et morilles sont au rendez-vous!! Quel mariage parfait afin de vous concocter de solide repas de roi. Laissez moi vous donner une suggestion en ce sens truite à la morille et asperge, une recette que j’avais déja publié il y a quelques temps sur le blog. Mais oû et comment trouver ces fameuses morilles?? Il faut savoir que la période à laquelle la récolte des morilles est possible est plutôt courte. En général elle ne s’étend que sur quelques semaine; donc il faut être efficace et organisé afin de faire de belles récoltes. Dans mon coin de pays cette période se situe généralement entre le début de mai et la fin mai. La présence du peuplier baumier et du cerisier de pennsylvanie, sont des indice (parmis tant d’autres) que vous devrez vérifier. Terrain sablonneux en pente sont de bons secteur à prospecter; encore plus prometteur si cette pente est orienté sud. Ces petites ne se laissent pas facilement capturer vous devrez avoir le bon oeil ouvert et être très attentif. Bien sur les sites de feu de forêt sont des endroits propice pour découvrir ces petits lutin de la forêt (on appelle celles ci des morilles de feu). Il existe plusieurs variétés de morilles mais ici comme il ne s’agit que d’un survol nous les appellons toutes morilles. Il est de votre responsabilité de prendre plus d’informations afin de vous éviter certains ennuis. Les risques de confusions sont bien présent surtout avec les diverses verpe. Comment les différencier??? facile, le chapeau de la morille est attaché au pied de celle-ci mais dans le cas de la verpe le chapeau n’y est pas attaché. (notez que celle-ci est aussi un champignon comestible quoi que ayant un intérêt gustatif moindre. La photo ci-contre présente un panier rempli de verpes, attention de bien cuire tout les champignons sauvage que vous cueillerez. Le printemps est aussi la saison des gyromitres qui sont à éviter il est donc de votre responsabilité d’être bien capable de les identifier.

 

Pousse de conifère   

Le printemps est la saison de la renaissance, la nature se réveille et bien souvent les hommes aussi!! Donc nouvelle pousse et bourgeon sont au rendez-vous. Savez-vous qu’avec les jeunes pousse de divers conifères, que ce sois le sapin, l’épinette ou même le thuya (généralement appelé cèdre) il vous est possible de concocter toutes sorte de recette les plus intéressante que les autres??? Allant du sirop contre le mal de gorge jusqu’à des vinaigrettes en passant par les diverses gelée, marinade et épices. Rien de mieux pour agrémenter vos repas de gibier. Voici quelques exemples de recettes que vous pourrez effectuer avec ces pousses, la limite étant votre imagination. Vous faites des essais ?? partagez vos résultats avec nous!!

 

 

Tête de violon

Qui ne connait pas ces fameuses tête de violon??? Il s’agit en fait de la jeune pousse des fougères, par contre il faut être attentif et faire attention puisque certaine variété de fougère pourraient vous causer des troubles gastrique ou même des intoxications. Vous devrez donc identifier hors de tout doute la fougère de l’autruche (qui est très commune dans nos contrées. Elles ne doivent pas être consommé cru, la marche à suivre est simple, voici un lien vers le site de mapaq qui vous expliquera en détail comment éviter tout problèmes. Une fois le traitement de base effectué vous pourrez conserver vos précieuses au congélateur et les utiliser ultérieurement en salade, en sauté , avec des pâtes ou simplement en accompagnement Elles sont délicieuse.

 

Plusieurs autres autres plantes peuvent être récolté pendant cette période, entre autre l’ail des bois (plante fragile qu’il faut récolter avec parsimonie en respectant les limites imposées dans certain secteur). Dehors il y a encore de la neige et le temps est mausade espérant que cette courte lecture aide à vous faire patienter. Bonne récolte!!

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La pêche, le matin? l’après-midi? le soir?? ou la nuit?

Il s’agit ici d’une question bien complexe que plusieurs pêcheurs novice ou expérimenté se posent. La réponse n’est pas facile puisqu’elle est relative à plusieurs facteurs. Comme la saison de l’année, l’espèce convoitée, la météo et bien d’autres. Je vais tenter ici de démystifier le sujet. Mais une chose est certaine à la pêche la seule certitude qu’il y a, est qu’il n’y a pas de certitude (Bruno Baillargeon).

Pour cet article je vais me baser sur le cas de la truite mouchetée que je connais plutôt bien puisque dans ma région il s’agit du poisson le plus convoité, mais je vais ajouter des détails sur d’autres espèces plus bas dans l’article.

Le printemps l’eau est froide, en général trop froide pour que l’activité du poisson sois à son paroxysme tôt le matin. Le soleil étant encore bas il ne réchauffe pas suffisamment l’eau pour que le poisson sois activement à la recherche de proie. Par contre à mesure que la journée avance, disons à partir du mi-avant midi jusqu’en début d’après midi les rayons de soleil pénètrent la surface de l’eau ce qui la réchauffe et rend le poisson un peu plus actif à mesure que la température augmente. Bien évidemment plus la journée avance plus l’eau se réchauffe (et approche la température préférentielle du poisson) donc le poisson se nourrit de plus en plus activement. Bien évidemment vous gagnerez à travailler les endroits qui se réchauffent en premier, par exemple les zones peu profonde ou encore une roche sur laquelle le soleil plombe ce qui réchauffe l’eau. Donc en résumé au printemps la pêche à la truite est généralement plus productive à mesure que la journée avance et ce jusqu’en fin de journée.

L’été, la température de l’eau est généralement plus chaude que celle préférentielle de notre truite. Donc le matin la pêche est généralement bonne puisque les rayons du soleil ne pénètrent pas encore sous la surface. Par contre il y a plus de nourriture présente dans le plan d’eau que lors du printemps donc trouver des poissons affamé peut devenir plus complexe. Plus la journée avance plus les truites vont regagner leurs cachettes afin d’échapper à cette chaleur et toute cette lumière éblouissante. Par contre, en fin de journée  lorsque le soleil descend et commence à se cacher derrière la ligne des arbres il se produit un grand nombre d’éclosion d’insectes ce qui rend les truites vraiment beaucoup plus active, elles quittent alors leurs cachettes et les profondeurs afin de se gaver allègrement. De plus le soleil n’étant plus un problème puisqu’il ne pénètre plus sous la surface. Le pêche y est donc excellente. En plus lorsque le soleil pénètre moin dans l’eau l’oxygène dissoute s’en échappe moin rapidement.Le pêche de nuit peut s’avérer surprenante et ce même pour les espèces qu’on croirait inactive pendant cette période.

Le cas de l’automne est un peu plus difficile à traiter dans le cas de la truite mouchetée puisque la plupart des plans d’eau qui en contiennent sont fermé à la pêche afin de la laisser se reproduire. Je vais donc utiliser un exemple général. Il faut traiter la pêche automnale un peu comme celle du printemps c’est à dire que le matin l’eau est souvent trop froide et que plus la journée avance elle se réchauffe et l’activitée du poisson augmente elle aussi. Mais il ne faudrait pas oublier que pour plusieurs poissons par exemple le doré ou le brochet l’automne consiste en une période d’alimentation plus intense. Ce qui permet donc la capture de trophée plus que possible.

Tout ça explique pourquoi la pêche est généralement meilleure lors des journée nuageuse puisque les rayons du soleil ne peuvent pas atteindre la surface de l’eau et encore moin la pénétrer, donc elle demeure plus fraîche tout au long de la journée.Dans le cas du vent modéré il est généralement signe de bonne pêche puisque le profil de votre embarcation est brisé par celui ci ce qui vous rend plus discret. Cette affirmation est d’autant plus vrai dans les lac ou l’eau est d’une clarté cristalline. Dans le cas du doré qui est un poisson lucifuge (il fuit la lumière) le vent est un atout majeur puisque les sédiments se retrouvent en suspension et rendent l’eau plus sombre ce qui a souvent pour effet de le faire sortir de sa cachette.

Bien évidemment tout le contenu de cet article est basé sur mon expérience personnelle et un peu de déduction bref ça ne constitue pas une vérité immuable. Il faut bien évidemment adapter ces bases à l’espèces que vous pêchez à l’autres d’autres facteur influent comme sa  température préférentielle le plan d’eau, divers facteur météo (la pression atmosphérique etc etc..) Sur ce bonne pêche.

 

 

 

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Charte de poids pour différentes espèces

 

Comme plusieurs pêcheurs j’aime avoir une estimation du poids de mes captures, une balance est bien sur l’outils idéal pour ce genre de travail par contre son utilisation n’est pas toujours l’idéale lorsque l’on désire remettre rapidement notre capture à l’eau afin de maximiser ses chances de survie. Dans ce cas une mesure rapide de sa longueur est optimale (il existe plusieurs méthodes pour effectuer cette opération rapidement par exemple des repaires de longueur apposée sur notre canne ou encore un ruban à mesurer coller dans notre embarcation etc..) et de son tour de taille. Afin d’avoir une idée approximative du poids de votre poisson il existe plusieurs chartes, que j’ai trouvé ici et là. Vous trouverez donc en référence à la fin de l’article l’adresse des sites web originaux d’où proviennent ces chartes et ou calcul. Notez bien qu’il ne s’agit que d’une estimation du poids.

Truite mouchetée

Poid = longueur * tour de taille au carré / 800

Donc par exemple, pour une mouchetée de 20 pouces qui a un tour de taille de 12 pouces

poid = 20 * (12*12) / 800

poid = 20 * (144) / 800

poid = 2880 /  800

Donc poid = 3.6 livres

ce n’est pas plus compliqué que ca.

Doré jaune

12 po 0.62 lb
13 po 0.79 lb
14 po 1.01 lb
15 po 1.25 lb
16 po 1.54 lb
17 po 1.87 lb
18 po 2.24 lb
19 po 2.66 lb
20 po 3.13 lb
21 po 3.65 lb
22 po 4.24 lb
23 po 4.88 lb
24 po 5.59 lb
25 po 6.36 lb
26 po 7.20 lb
27 po 8.12 lb
28 po 9.12 lb
29 po 10.20 lb
30 po 11.36 lb
31 po 12.60 lb
32 po 13.94 lb
33 po 15.38 lb
34 po 16.91 lb

 

Brochet du nord

Pour ce qui est du brochet le calcul est le même que pour la truite mouchetée par contre on doit diviser par 1000

donc poid = longueur * tour de taille au carré / 1000

Par exemple un brochet de 40 pouces ayant un tour de taille de 20 pouces devrait peser autour de 16 livres

poids = 40 * 400 / 1000

poids = 16000 / 1000

poids = 16.0

 

Achigan à petite bouche

Il s’agit encore de la même formule mais cette fois ci on divise par 1100.

Poids = longueur * tour de taille au carré / 1100

 

Achigan à grande bouche

Dans le cas de la grande bouche le diviseur est 1050

Poid = longueur * tour de taille au carré / 1050

Maskinongé

Longueur     Poids moyen

36 po              12 livres

40 po               17 livres

42 po               20 livres

45 po               24 livres

48 po              31 livres

50 po               33 livres

52 po               37 livres

55 po               43 livres

58 po               52 livres

Notez bien qu’il ne s’agit que d’une grossière estimation, pour une charte plus précise vous pouvez consulter celle ci fournit par musky canada

http://www.muskiescanada.ca/articles/2007_Weight_Estimation_chart.pdf

 

Bar rayé

Le document complet est vraiment intéressant je vous encourage à le consulter ici

ftp://ftp.mrnf.gouv.qc.ca/Public/Bibliointer/Mono/2012/04/1112324.pdf

 

Ouananiche

Pour ce qui est de la ouananiche j’ai rien trouvé de vraiment intéressant comme chartes, la plupart de celles ci étant appliqué à son cousin le saumon atlantique. Comme son alimentation et son mode de vie est vraiment différent je ne sais pas si ces calculs s’appliquent. Je vous mets ici en lien ce que j’ai trouvé et qui semblait intéressant.

http://www.wherewisemenfish.com/fish-weight-calculator

 

Touladi

25 po 5.75 lb
26 po 6.53 lb
27 po 7.38 lb
28 po 8.31 lb
29 po 9.31 lb
30 po 10.39 lb
31 po 11.56 lb
32 po 12.81 lb
33 po 14.16 lb
34 po 15.60 lb
35 po 17.14 lb
36 po 18.78 lb
37 po 20.53 lb
38 po 22.39 lb
39 po 24.36 lb
40 po 26.44 lb
41 po 28.65 lb
42 po 30.98 lb
43 po 33.44 lb
44 po 36.03 lb
45 po 38.76lb
46 po 41.62 lb
47 po 44.63 lb
48 po 47.79 lb

 

 

Références 

https://www.pinesunsetlodge.com/troutweightformula.htm

http://www.in-fisherman.com/biology/walleye-length-to-weight-conversion-chart/

http://www.garden-island.com/northern-pike-weight-formula-calculator.htm

http://www.garden-island.com/bass-weight-formula-calculator.htm

http://www.musky.com/Features/howheavy.htm

http://www.in-fisherman.com/trout-salmon/lake-trout/lake-trout-length-to-weight-conversion-chart/

 

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10 plantes toxique à Éviter !!

Si notre forêt est généreuse en plantes et champignonss comestibles elle est tout autant généreuse en plantes toxique sou du moin à éviter pour les non initiés; cet article ne constitue pas une bible des plantes toxique de notre coin de pays mais bien une piste d’indice sur les plantes qui devraient allumer votre méfiance. Plusieurs photos proviennent du web puisque lors de l’écriture de cet article je n’avais pas accès à prendre une photo de chacune d’elles. Elles ne sont pas nécessairement présenté en ordre de toxicité et j’aurais pu en inclure plusieurs autres mais ce sont celles ci qui me sont venu rapidement à l’esprit.

1 – Gyromitre commun (gyromitra esculenta)

Comme vous le savez surement les champignons font parti des “plantes” les plus dangereuse en forêt et une bonne connaissance de ceux ci sont de mise avant d’espérer en faire la cueilette. Ils sont donc à éviter si vous n’êtes pas un cueilleur expérimenté. Nos gyromitres poussent au printemps (lors de la saison des morilles donc une attention tout particulière est de mise lors de la cueillette de ces dernières). Elles ressemblent littéralement à des cerveaux et sont très communs. Ils ont autrefois été considéré comme comestible mais plusieurs intoxication (mortelle dans de rare cas) ont été rapporté. Il contient une substance toxique appellé gyromitrine (qui se décompose en méthylhydrazine lors de la cuisson) qui est hautement toxique et qui en plus est bioaccumulable. L’assimilation par l’organisme de cette toxine est très lente ce qui la rend encore plus sournoise elle provoque dans les cas bénins céphalée, vertiges, douleurs abdominale, diarhée dans les cas plus grave les symptomes incluent des convulsion, hypoglycémie atteinte hépatique et autres… Malgré que certaines personnes consomment encore ce dernier (en appliquant un traitement qui devrait éliminer une bonne partie des toxines) je vous le déconseille fortement.

Reférences : https://www.mycoquebec.org/bas.php?trie=G&l=f&nom=Gyromitra%20esculenta%20/%20Gyromitre%20commun&tag=Gyromitra%20esculenta&gro=86

2 – Berce du caucase (Heracleum mantegazzianum)

Plante originaire du Caucase ( de la son nom) introduite par l’homme en Amérique du nord elle est devenu invasive et prend de plus en plus de terrain au Québec. Elle peut-être confondue avec entre autre la berce laineuse qui elle est indigène du Québec et n’est pas considéré comme invasive (malgré qu’elle peut aussi causer une dermatite de contact toutefois moin sévère que celle causé par la caucasienne). Pour facilement les différencier : la berce laineuse comporte sur sa tige peu ou pas de taches rouge et est recouverte de poils blanc et soyeux, la caucasienne tant qu’a elle ne comporte pas ou très peu de poils et possède beaucoup de taches rouge elle est aussi plus grande que son homologue. Elle pousse le long des routes, des fossés et des chemins de fers. La sêve de la berce du caucase cause des brulures sévère (2ieme degré) en contact de la peau qui est exposé au soleil; cause aussi des enflures de la peau et des cloques, il faut donc être TRÈS prudent lors de son éradication . Références : https://www.quebec.ca/habitation-et-logement/milieu-de-vie-sain/reconnaitre-et-eliminer-la-berce-du-caucase/

3 – Herbe à puce (Toxicodendron radicans)

Plante grimpante originaire d’Amérique du nord, donc très commune dans nos contrés; elle pousse en colonie plutôt dense dans les champs, les forêts autant dans les milieux ombragé, ensoleillé, sec ou humide bref on peut la retrouver un peu partout en milieu forestier et urbain. Elle cause des dermatites de contact assez violente il est donc impératif d’éviter tout contact avec cette dernière. Vous pourrez la reconnaitre grace à ses feuilles lustré trilobée, en été elle produit des grappes etdes petites fleurs blanche; ses fruits sont globuleux et cireux blanc jaune. Références : http://www.fleursduquebec.com/encyclopedie/1950-herbe-a-puce.html

4 – Sanguinaire du canada (Sanguinaria canadensis)

Malgré une utilisation médicinale ancestrale de cette plante elle demeure fortement toxique et provoque des vomissements, des brulures au niveau des muqueuse ,des troubles cardiaque et visuel tout ca pouvant mener jusqua la mort elle est donc à proscrire à moin que vous ne sachiez VRAIMENT ce que vous faites… Elle pousse surtout dans les milieux rocheux, le sol des érablières bref on la retrouve surtout parmis les feuillus; les abeilles l’affectionnent tout particulièrement puisqu’elle est méllifère. On la reconnait facilement grace à son unique feuille émergant du sol et sa fleur composé de 2 pétales verte et d’une quinzaine de pétales blanche. Référence : https://afsq.org/wp-content/uploads/2017/07/sanguinaire_du_canada-fiche.pdf

5 – Amanite vireuse (Amanita virosa)

Un autre membre de la famille des fungi et non le moindre le très connu ange de la mort; cette amanite blanche et gracieuse cache sous cette apparence innofensive une toxicité extrême. On la retrouve en forêt sous conifères et feuillus et parfois même sur vos gazons. Il est à noter que la lépiote lisse peut parfois être confondu avec cette dernière (et certains agaric dans une moindre mesure) une attention toute particulière doit donc être porté lors de la cueillette de ces lépiote. Elle est d’un blanc immaculé doté d’un anneau fragile lui aussi blanc tout comme ses lames d’ailleurs, comme toute les amanites elle possède un volve (ce qui permet de la différencier de la lépiote lisse). Elle cause un synfrome phallodĩen tout comme l’amanite phalloĩde ce qui se traduit par de forte nausée , douleurs grastrique violente, diarhée et se termine par la mort dans plusieurs cas. Vous devez donc apprendre à identifier cette amanite avec certitude afin de l’éviter. Référence : https://www.mycoquebec.org/bas.php?post=amanite&l=r&nom=Amanita%20virosa%20sensu%20auct.%20amer.%20/%20Amanite%20vireuse&tag=Amanita%20virosa&gro=13

6 – Houx verticillé (Ilex verticillata)

Un houx sans épines dont les feuilles tombent l’hiver et indigêne au Quebec?? ehh oui ca existe il s’agit du houx verticillé par contre ses fruits rouge demeurent sur ces branches une bonne partie de l’hiver. Malgré son utilisation médicinale ancestrale cette plante est à éviter car ses fruits contiennent de la théobromine un composé analogue à la caféine causant des vomissement, diarhée parfois violente de fortes crampes intestinale, l’ingestion d’une grande quandité de fruits pourraient causer le coma voire même la mort. Rérérence : http://www.parcdesfalaises.ca/index.php/la-flore-du-massif/plantes-toxiques/houx-verticille/

7 – Ortie dioĩque (Urtica dioica)

Qui ne connait pas la fameuse ortie commune?? ou grande ortie?? Malgré que cette plante est comestible et succulente, comporte plusieurs propriétés médicinale intéressante elle est à faire attention puisqu’elle est urticante; c’est à dire que le contact avec cette dernière provoquera des déangeaisons assez désagréable. Elle pousse un peu partout en ville, les terrains vague, le long des batiments , les cimetieres etc… Apprenez à l’apprivoiser elle n’est pas si méchante qu’elle ne le parrait!! Référence : https://www.agrireseau.net/agriculturebiologique/documents/guide-ortie.pdf

8 – Cicutaire maculée (Cicuta maculata)

La fameuse carrote à moreau probablement la plante la plus toxique du Québec et même de l’Amérique du nord!! PLante indigène elle peuple les fossés, les marais et les prairies. ATTENTION CAR LORSQU’ELLE N’EST PAS EN FLEUR ELLE PEUT-ÊTRE CONFONDUE AVEC LA CAROTTE SAUVAGE!! Tige marqué de lignes pourpre, fleurs blanche et en ombelle , feuilles alternes,foliole lancéolée et dentée. Empoisonnement soudain et violent : douleur à l’estomac, nausée, difficulté respiratoire, écume à la bouche, convulsion et inconscience sont quelques-un des symptomes d’intoxication à la cicutaire .. intoxication qui se termine souvent par une mort en quelques heures. Il est donc impératif de bien apprendre à l’identifier . Référence : Flore laurentienne 3ieme édition, Frère Marie-Victorin

9 – If du canada (Taxus canadensis)

Buis du sapin ou encore sapin trainard ressemble littéralement à des branches de sapin sortant du sol très commun dans la forêt boréale. Fut longtemps récolté car il contient une substance appellée paclitaxel  qui est reconnu pour arrêter la division mitotique des cellules cancéreuses. Cette substance est maintenant synthétisé ce qui en rend la récolte beaucoup moin commune (et elle requiert un permis du moin sur les terres publique). Les aiguilles, les rameaux et les graines sont hautement toxique (par contre la chaire du fruit ne l’est pas mais vous ne DEVEZ PAS MANGER LA GRAINE) les symptomes d’une intoxication à l’if comptent des vomissements, une diarrhée, des crampes abdominales, des vertiges, et même des hallucinations…

10 – Apocyn à feuilles d’androsème (Apocynum androsaemifolium)

On retrouve ce dernier en sol bien drainé, en lisière de forêt, en prairies le long des routes et en milieu perturbé. Elle est indigène au canada et est aussi appellé herbe à la puce. Elle est facile à reconnaitre grace à ses nombreuses petites fleurs en forme de cloche qui servent de piege pour capturer bon nombre d’insecte; ehh oui il s’agit d’une plante carnivore. Le contact avec la peau cause des irratations cutanées qui sont toutefois moin violente que celles causée par la véritable herbe à puce, mais elle demeure tout de même à éviter. Toxique lorsque ingéré “… Les doses excessives provoquent généralement des vomissements et des diarrhées. Sinon, l’intoxiqué est étourdi, voit les objets en vert ou en jaune, exsude des sueurs froides et urine beaucoup. Son coeur ralentit et la mort survient après des convulsions.» (Fleurbec, 1981. Plantes sauvages comestibles, p. 39 ) De plus ces pousses ressemblent énormément à celles de l’asclépiade et poussent au même moment il est donc bien important d’en faire la différence.

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Qu’est ce que l’ethnobotanique et comment ca a affecté l’évolution humaine!!

Si on décompose le mot ethnobotanique on en comprend plus aisément le sens. Ethno pour le peuple, les hommes, la collectivitée et botanique la science qui étudie les plantes. On peut donc facilement conclure que l’ethnobotanique est la science qui étudie la relation entre les humains et les plantes.

Même si nous ne le réalisons pas toujours, l’ethnobotanique touche à nos vie et ce souvent de façon quotidienne. Avec le rythme de vie effréné que nous impose la vie moderne il nous est facile d’oublier et de se distancer des plantes; et encore plus les espêces sauvage. Par contre souvent ces mêmes plantes se retrouvent dans notre alimentation, nos médicaments, dans nos produits de beauté et même dans nos produits ménager. L’impact de la vie moderne à causer une grande perte de connaissances et une rupture presque totale pour plusieurs d’entre nous avec les plantes de notre environnement. Cependant qu’on le veuille ou pas notre vie n’est jamais bien loin de l’ethnobotanique.

Tout au long de l’histoire de l’évolution humaine nous pouvons retracer le progrès de l’utilisation des plante par nos ancêtres. Même certaine espèces animales utilisent certaine plantes dans un but différent que celui de se nourrir; par exemple les castors qui utilisent les arbres pour fabriquer leurs barrages. L’utilisation des plantes comme médicament et comme outils de tout les jours remonte aussi loin qu’à l’âge de pierre, ce qui en fait une part entière de notre mode de vie. Au fur et à mesure que l’homo erectus prend de l’expansion territoriale au-delà des zones tropicale et subtropicale un environnement différent avec des zones climatiques aux conditions plus modérés, sa connaissance des plantes fait elle aussi un bond gigantesque et il intégra l’utilisation de plus en plus de nouvelles variétés de plantes. Dans les 2 millions d’années qui suivirent la connaissances engloba de plus en plus de plantes différentes et encore plus d’usages différents de ces dernières.

Les peuplades ancienne tout autour du monde utilisèrent les plantes qui se retrouvaient dans leur environnement immédiat, acquérant chacun de leurs côté de précieuses connaissances différentes. Comme l’occident et sa culture se développa la forte connection que l’humain entretenait avec la nature et les plantes devins de moins en moins mise en évidence. Toutefois l’ethnobotanique a de nouveaux été mit de l’avant au cours du 19iême siècle grace à l’exploration et à la découverte de nations aborigènes et d’échanges avec ces dernières. Les sociétés ancienne tout au long de l’histoire ont utilisé ces plantes comme monnaie d’échange, vêtements, médicaments, nourriture, matériaux de constructions, article de rituels et comme teinture. Ces plantes n’ont pas seulement été utiliser pour survivre mais bien d’une façon de promouvoir leur cultures.


Peu importe où vous concentrez vos études sur l’histoire de l’ethnobotanique, chaque zone climatique, continent et même région aura une histoire différente à vous raconter. La prise de conscience et les connaissances sur l’efficacité des plantes comestibles et médicinales a eu lieu pendant de nombreux siècles de lutte contre la famine et la maladie. Chaque culture existante sur terre a une histoire, une relation différente avec toute une panoplie d’espèces végétales et de leurs utilisations. Des écorces d’arbres, des graines, des fruits et plus encore, les humains ont toujours cherché à résoudre ces problèmes et la nature nous a constamment fourni les outils pour le faire, et ce très efficacement.

Dans sa version moderne l’ethnobotanique a plus mis l’emphase sur la collection de toutes ces données, les organiser en liste complète dans des bases de données facilement consultable. Le focus est plus orienté méthodologie; toutefois même dans notre monde “moderne” l’usage ancestral des plantes demeure et certain ancien de tribu ont bien de la difficultés à vouloir partager leur savoir.

Des plantes qui traitent les problèmes de peaux jusqu’au fruit utilisé pour les problèmes intestinaux, il y a des milliers de plantes ayant chacune des propriétés et usages différents en fait il y en a assurément trop pour toutes les nommer. Mais je peux sans me tromper affirmer que l’ethnobotanique à fait de l’homme un être intelligent se démarquant de bien d’autres espèces. Notre curiosité implacable et notre aptitude à bien observer notre environnement ont démontré que nous pouvions apprivoiser avec succès l’environnement qui nous entoure et l’utiliser afin d’atteindre des buts variés et plus encore.

Avec notre mode de vie moderne il y a une multitude de façon de se rapprocher de l’ethnobotanique. Faire pousser ses propres plantes et en faire le meilleur usage possible autant comme nourriture que comme médicament est une façon fantastique d’aborder et de comprendre l’ethnobotanique. Par contre afin d’expérimenter tout ceci un peu plus comme nos ancêtres le faisaient nous devront aborder ca avec une approche plus bushcraft; apprendre à survivre en nature sauvage est une méthode extraordinaire de ne faire qu’un avec la nature et ainsi mieux apprivoiser divers aspects de l’ethnobotanique. Notre habitat naturel n’étant pas les villes et les villages dans lesquels nous vivons mais bien la nature sauvage que nos ancêtres ont su apprivoiser, avec brio il faut le dire. Un retour à la nature est la meilleure façon d’apprendre et d’expérimenter les bienfaits que ces plantes peuvent nous apporter; et ce même s’il ne sagit que des plantes de notre jardin.

Références :

Native American Ethnobotany, 1998 ISBN 0881924539

https://mackiki.uqat.ca/index.php

http://naeb.brit.org/

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Le Piégeage primitif!!

Dans le grand domaine du bushcraft la chasse, la pêche et le piégeage prennent une place très importante puisqu’en utilisant toutes les ressources que vous donne un animal mort, vous obtiendrez : de la viande, des ossement pour vous fabriquer des armes et des outils, les tendons vous fournirons du cordage et la peau une ressource inestimable pour vous confectionner vêtement, couchette etc… Dans ce domaine le piégeage arrive grand gagnant pour plusieurs raisons : les pièges sont efficace 24 heures sur 24 et n’ont pas besoin de votre présence pour faire leur travail. Vous pouvez en installer plusieurs ce qui multiple votre efficacité et par le fait même vos chances de succès. Bien évidemment comme il est ici question de bushcraft les méthodes proposés seront dites primitives; donc mettez de coté vos trappes d’acier et sortez votre hache!! NOTEZ BIEN QUE CES MÉTHODES SONT ILLÉGALE D’UTILISATION DANS BEAUCOUP DE PAYS, IL EST DONC DE VOTRE RESPONSABILITÉ DE VOUS INFORMER DES LOIS RÉGISSANT VOTRE RÉGION AVANT DE LES METTRE EN OEUVRE. Toutefois elles demeurent tout de même très utile en situation de survie réelle.

Le piège en 4 amélioré

Le piège en 4 ou le déclencheur en 4 est le système primitif le plus connu pour piéger. Il est plutôt simple à mettre en oeuvre et relativement efficace. Dans sa version originale il est toutefois peu sensible au déclanchement, des améliorations ont donc été apporté à ce dernier pour corriger ce problème, il s’agit de cette version améliorée que nous vous présentons ici. Ce système est plus souvent utilisé avec appât mais il est tout à fait possible de l’utiliser à la passe en allongeant le déclencheur (pièce #2) afin de couvrir toute la longueur de l’assommoir (pièce #5). Si vous décider de l’utiliser avec appât vous devrez fendre le déclencheur (au point #7) afin d’y insérer un appât et de l’attacher en place le plus solidement possible. La pièce qui sert d’assommoir (pièce #5) peut-être une dalle de pierre, un billot, un empilement de billot etc… Il existe énormément de variante possible de ce piège la limite étant les ressources disponible et votre imagination. N’oubliez pas que la charge de l’assommoir doit avoir un poids environ 5 fois supérieur à celui de la bête que vous espérez capturer, cette règle est valable pour tout les pièges à assommoir. Vous pouvez utiliser cette méthode pour capturer toute taille d’animals. Vous aurez besoin d’effectuer des encoches ou d’aiguiser certaine pièce du piège, fiez vous aux images pour vous guider; par contre une attention toute particulière est à porter sur le support ( pièce # 3) qui doit être équarri à l’endroit ou l’encoche du déclencheur (pièce #2) entre en contact avec cette dernière.

Le systême Paiute

Originaire du Nevada ce système de piégeage ancestral a été inventé par la tribu autochtone du même nom sois les Paiutes. Cette méthode a pour avantage d’être très sensible et facilement mise en oeuvre. Par contre vous aurez besoin d’un bout de cordage pour la mettre en oeuvre. Encore une fois vous pourrez utiliser une pierre ou encore un billot comme assommoir. L’appât doit être bien attaché sur la perche horizontale qui se retrouve sous la charge de l’assommoir.

PIège avec palette de déclanchement au sol

Je vous présente ici un système que j’aime bien car il peut aussi bien être utilisé devant une cage, un trou appâté ou encore à la passe; par exemple dans un sentier d’abattage de castor. Il est plutôt facile à mettre en oeuvre vous n’aurez pas besoin de façonner d’encoche ou autre toutefois vous devrez utiliser un bout de cordage. Lorsque l’animal mettra son poids sur la branche horizontale, celle qui est devant l’entrée de la cage, ceci déclenchera l’effondrement de l’assommoir. Une chose importance à retenir sur ce système afin qu’il fonctionne comme prévu, il est primordial de laisser un dégagement suffisant dans la cage ou derrière l’assommoir afin que la “détente” puisse compléter sa course. Pour ajuster la sensibilité du piège il suffit de diminuer ou d’augmenter la surface de contact entre les deux pièces qui retiennent le mécanisme.

Conibear primitif

Bien avant l’arrivé des pièges en acier le principe de faire se refermer des machoires sur une bête avait été mis en oeuvre. Voici mon interprétation du conibear primitif, il peut être utilisé avec un appât ou encore à la passe dans un sentier fréquenté par l’animal convoité. Donc le haut du cadre (pièce #4) est retenu généralement par un brêlage sur les deux fourches (pièce #2) qui sont elles solidement enfoncé dans le sol. Les deux rails (pièce #1) auront avantage à être équarri sur le coté avant pour que la mâchoire (pièce #5) puisse glisser aisément. Bien évidemment vous devrez prévoir un contrepoids conséquent afin d’exercer la force de préhension nécessaire. Le déclencheur (pièce #3) quand à lui devra être sectionner en son centre comme le montre l’image (vous pourrez ajuster la forme de la découpe afin d’ajuster la sensibilité du mécanisme ) et devra être maintenu en équilibre précaire afin d’être déclenché facilement par votre proie. Vous pouvez bien sur utiliser d’autres type de déclencheur pour ce piège.

Pièce #3

Perchoir ojibwa pour oiseaux

Ce perchoir permettant de capturer des oiseaux aisément a été utilisé pendant des siècles par les nations autochtone qui peuplaient l’Amérique du nord, tout particulièrement par les Ojibwés de la le nom du système. Il est composé d’une pole dans lequel on perçu un trou pour y insérer un perchoir chambranlant qui est retenu en place simplement par la pression exercé par le collet qui est glissé entre ce dernier et le trou de la pole (il peut être nécessaire de faire un noeud sur le collet afin que celui ci ne se referme pas sans que le perchoir ne tombe.) Vous mettez un appât sur le perchoir et lorsque le poids de l’oiseau fait tomber ce dernier la tension exercée par l’arbre plié refermera le collet sur l’oiseau presque instantanément. Plutôt que de replier une branche vous pourriez utiliser un contrepoids qui aurait fait le même travail.

Cage pour oiseau ou petite bête

Qui ne connait pas la cage??? une méthode efficace, facile et rapide de capturer des oiseaux ou des petits mammifères. De plus il est possible de la fabriquer de toute taille ce qui la rend encore plus polyvalente. Par contre n’oubliez pas que les animaux capturés seront vivant lorsque vous les récupérerez, il vous faudra donc prévoir une méthode d’abattage. Le déclencheur de base de cette cage peut aisément être remplacé par celui en 4 qui pourrait être avantageux pour cet usage. N’oubliez pas d’appâter le déclencheur… Vous pourriez remplir les espaces entre les étages de la cage en y tressant du branchage de petite taille ou autre débris diminuant ainsi de façon significative la taille des trous entre chaque étage, ce qui augmentera votre taux de rétention lors de capture.

Système d’autoferrage pour la pêche

Ce système est plutôt pratique puisqu’il ferre le poisson pour vous, ce qui vous laisse toute liberté de faire autre chose; extrêmement pratique en situation de survie. Les pieux (pièce #1) devront être planté solidement dans le sol, la corde les reliant devra être double et “twisté” afin de créer la tension nécessaire au ferrage du poisson. la butée (pièce #2) sert quand à elle à limiter la course de la pièce #3 afin que le système ne ferre que le poisson plutôt que de perdre toute sa tension. L’ajustement de la sensibilité est possible en modifiant la surface de contact entre les deux fourches (pièce #7). Il existe d’autre déclencheur possiblement utilisable pour ce système mais celui démontré ici est facilement mis en oeuvre.

Hameçon primitif

Un bout d’os ou encore de bois aiguisé des deux bouts attaché par son centre. Appâtez et lors de la morsure vous laissez le poisson avaler le tout et ca devrait se coincer dans sa gorge. Vous pouvez en fabriquer plusieurs de taille différentes et expérimenter ce qui marche le mieux pour vos poissons

Conclusion

Il existe bien sur une quantité phénoménale de système différents de ceux ci qui sont tout aussi efficace mais je crois qu’en maitrisant ceux que je vous ai décrit ici vous serez en mesure d’affronter toute une panoplie de situations. Sur ce bonne pratique et n’oubliez pas de valider avec les autorités si ces méthodes sont permise dans votre patelin.

Références :

The Trapper’s Bible: The Most Complete Guide on Trapping and Hunting Tips Ever, 2012 ISBN 9781635614602

Deadfalls and Snares: A Book of Instruction for Trappers , 1907 ISBN 9781484809495

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Qu’est ce que le bushcraft??Le matériel et les compétances à acquérir!!

Le Bushcraft ou l’art des bois est l’art d’utiliser les ressources que la nature met à notre disposition afin de survivre et prospérer en nature. Il combine les connaissances et l’utilisations des plantes sauvages, des animaux, des outils manuel; afin de rendre la vie en nature plus facile et plus efficace. On pourrait le comparer à du camping sauvage bonifier. Apprendre les compétances du bushcraft vous seront bénéfique de plusieurs facons incluant :

  • Améliorera votre capacité d’adaptation lorsque vous ferez face à de nouveaux défi en nature
  • Devenir plus indépendant voire autonome
  • Augmentera votre confiance lors d’aventure hors sentier
  • Améliorera vos compétances en situation de survie réelle ou simulée
  • Vous serez mieux préparé à faire face à des situation imprévues

Le bushcraft n’est pas une seule chose à apprendre mais un ensemble de connaissances. Bien que le bushcraft sois orienté nature voire forêt il rendra votre vie de tout les jours plus facile et ce même en milieu urbain. Bien évidemment apprende et maitriser la plupart de ces techniques ne se fait pas en criant lapin cela prendra des heures même des années de pratique qui agrémenteront vos sorties plein-air.

Quels sont les principales compétances à acquérir??

Le bushcraft englobe plusieurs “science” dites primitive qui sont oublié de beaucoup de nos jours. Dans cet article je vais focuser sur quelques compétances qui sont pour la plupart utile en situation de survie. Le bushcraft vous enseignera comment mettre en oeuvre ces compétances avec seulements des outils commun de base. Évidemment chacune de ces compétances se subdivisent en plusieurs petites compétances que nous ne couvrirons pas entirement dans cet article car cela nécesiterait un livre entier pour le faire; par contre je vais tenter au cours des prochaines années de vous faire des vidéos youtube et d’autres articles couvrant ces divers sujets. Prenez plutot cet article comme un index incomplet des compétances à ultimement acquérir.Ces compétances se diviseront en différentes catégories les voila :

  • Cueillette de plantes/champignons sauvage
  • Le piégeage, la chasse et la pêche
  • L’eau : l’obtenir et la purifier
  • La construction d’Abri
  • La maitrise du feu
  • L’orientation et la navigation naturelle

Cueillette de plantes/champignons sauvage

  • Connaissances des plantes et champignon local, les reconnaitres, les cueillir, les conserver, les transformer, leur proprités autant nutritive que médicinale
  • La cuisine sur le feu
  • Bien connaitre les plantes toxique et savoir les identifer sans erreurs, j’ai d’ailleur écrit un article sur ce sujet sur un autre blog

Voici un lien vers celui ci https://pfnlboreal.com/wp/2020/09/10/10-plantes-toxique-a-eviter/

Le piégeage, la chasse et la pêche

  • Reconnaitre les différentes espêces présente, leurs habitudes, aire de distribution ainsi que les lois entourrant leurs captures.
  • Techniques de piégeage moderne et primitive ( Piégeage du castor , Piégeage primitif https://www.youtube.com/playlist?list=PLfI5UiJ_92PavrPdcslQTfze-IKbrXWk5)
  • L’utilisation et l’élaboration de leurres olfactif pour le piégeage
  • Camoufler l’odeur humaine
  • Connaissanes d’une panoplie de noeuds et leurs utilisations
  • Fabrication de cordage naturel
  • Débiter, apprêter et bien cuire vos prises en nature

L’eau : l’obtenir et la purifier

  • Amasser de l’Eau
  • Fabrication d’un filtre de fortune
  • Purification de l’eau par diverses méthodes
  • Vannerie sauvage afin de transporter cette eau

La construction d’Abri

La maitrise du feu

Combien de temps apprendre tout cela peut prendre???

Comme vous pouvez le constater il y en a énormément à apprendre et même plus!!! Devenir un maitre va prendre des années entiêre d’essais/erreurs vire votre vie en entier. La bonne nouvelle est que pour débuter quelques compétances de base facile à acquérir vous mettrons rapidement dans le chaud du sujet en plus certaine de ces compétances sont utile dans plusieurs aspects du bushcraft.

Alors par ou commencer ??

Si vous n’avez aucune connaissances, voire zéro expériences en bushcraft il vous sera plus facile de commencer par apprendre à maitriser des compétences de base facile à apprendre; plusieurs d’entres elles peuvent être maitrisé rapidement bref il s’agit souvent d’une question de seulement quelques heures. Vous pourriez commencer par :

  • Le bâtonnage
  • La construction d’outils simple comme par exemple sculpter une cuillière
  • Maitriser les noeuds de base et les utiliser pour construire des structures de base comme par exemple un trépied
  • Les feux de bases

Si vous possédez déja des connaissances intermédiaires

Si vous possédez déja une certaine expérience et que vous voudriez pousser le niveau de vos connaissances un peu plus loin les compétances qui suivent pourraient être la cible à atteindre :

  • Se nourrir avec les plantes
  • Maitrise intermédiaire du feu (sans allumettes ou briquet standard)
  • Fabrication d’un abri de base
  • Apprentissage du piégeage de base les collets
  • Amélorer vos connaissances sur la pêche
  • Pistage de base
  • Purification de l’eau

Si vous êtes déja d’un niveau élevé

Mêne si vous êtes un aventurier chevronné ayant deja énormément de millage sous les souliers il vous sera toujours possible d’en apprendre et de vous imposer des défis à la hauteur de vos ambition en voici quelques suggestions :

  • Vannerie sauvage / cordage naturel
  • Feu par friction , transport du feu
  • Piégeage avancé, fabrication de leurre olfactif
  • Médecine naturelle
  • Connaisances avancé des plantes et des champignons sauvage
  • Navigation naturelle avec les étoiles, la lune et le soleil
  • Pistage avancé
  • Excursion longue durée en complête autonomie
  • Etc…

Quels sont les outils utile pour le bushcraft??

À sa plus simple expression le bushcraft est de survivre en nature avec vos vêtements et un couteau; par contre l’utilisation d’autres outils va grandement faciliter l’exécution des défis que vous vous imposerez!! Contrairement à plusieurs auteurs je ne vais pas vous proposer des marques ou modèles d’outils en particulier mais simplement vous aiguiller en vous éclairant sur le type d’outil nécessaire.

Le couteau de bushcraft

Un couteau à lame fixe est l’outil le plus usuel en bushcraft. Trouver le couteau qui vous va parfaitement peut-être une tâche peu aisée; il en existe toute une panoplie de modèles aux caractéristiques différents. Une lame pleine soie sera à privilégier puisque ce dernier pourra encaisser des coups plus violent. Le couteau est l’idéal pour les tâches légère et moyenne comme :

  • Le bâtonnage
  • Sculpture et les tailles diverses
  • Dépecage du gibier
  • La fabrication de collet et de pièges
  • La cuissons et la manipulation de vos aliments

Hache, hachette, tomahawks

Une hache de petite taille est généralement très utile en bushcraft, elle vous facilitera la vie dans les tâches modérée et lourde. Le choix des matérieux est bien personnel puisqu’il existe d’excellente hache avec manche en composé “plastique” et d’autres tout aussi bonne en manche plus traditionnel en bois. Certain préféreront en avoir une plus massive ou même un tomahawks tout ca demeure un choix personnel. Votre hache vous permettra d’effectuer entre autre les tâches suivantes :

  • Abattre des arbres
  • Couper du bois l’équarir
  • Fendre des buches
  • Creuser
  • Planter des piquets
  • Débiter du gros gibier…

La grande famille des machettes

Les fonctionnalités offretes par les machettes se situent entre celle d’un couteau à grande lame et une hache . Sans être essentielles elles peuvent être très utiles dans l’exécution des tâches suivantes :

  • Débrousaillage
  • Batonnage
  • Couper du bois
  • Creuser

Les scies

Il faut bien sur éliminer la scie mécanique puisqu’elle n’est pas dans la ligne de pensée bushcraft; par contre il existe une panoplie de scie différentes utile et performante. Ce qui inclus les scie pliante, les scie démontable, les scie cadre, les scie de type scie à chaine manuelle. Si vous pensez effectuer des projet qui nécessiteront une grande quantité de bois l’utilisation de la scie prend tout son sens. Elle excelle dans l’xcécution des tâches suivante :

  • Couper rapidement des arbres, des branches
  • Construite des abris
  • Construite des échelles
  • Construire des tables ou autre mobilier

Le sac à dos

Le dernier de la liste mais non le moindre!! Il vous faudra une facon de transporter tout ca !! Il existe une panoplie complète de sac à dos soyez certain que celui que vous choisirez conviendra à cette activité. Il devrais préférablement être imperméable, très confortable et posséder plusieurs compartiments afin de faciliter le classement de son contenu.

Projets parfait pour un débutant du Bushcraft!!

Il y a plusieurs avenues posssible pour un débutant qui veut s’initier au bushcraft et elles sont toutes aussi bonne l’une que l’autres voici quelques suggestions afin de bien vous orienter; bien évidemment il existe toute autre facon de s’y initier.

  • Cueillir une plante comestible et en maitriser tout les usages
  • Fabriquer une cuillière de bois avec seulement vos outils bushcraft de base
  • Recuellir et purifier de l’eau
  • Établir un abri/campement de base
  • Le feu de base
  • Etc…

Bonne chance !!!!

Comme vous avez pu le constater à la lecture de cet article, le bushcraft est un ensemble plus que complet de compétances allant d’une difficulté très facile à plus que complexe. Maitriser toute ces disciplines prendra énormément de patiences et de temps!! Alors go dehors et action!!!

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Le bâtonnage, les pour et contre + conseils!!

Devriez-vous bâtonner??? oui, non, peut-être, cet article va tenter de répondre à cette question en vous proposant des conseils et en vous exposants les pours et les contres de cette méthode qui est trop souvent regardé de haut.

Premièrement qu’est ce que le bâtonnage?? L’Action de frapper le dos d’une lame à répétition afin de faire pénétrer cette dernière dans le bois dans le but d’effectuer certaine tâche comme par exemple fendre une bûche ou couper une branche. Par contre avant de vous lancer tête baisser dans le bâtonnage il faut vous assurer que vos outils possèdent les caractérisques nécessaires. Première chose vous devrez avoir un couteau avec une pleine soie c’est à dire que l’acier de la lame se prolonge sur toute la longueur du manche, un acier assez souple pour endurer la tension et les torsions générés par cette action et cette lame devra préférablement être épaisse. La plupart des couteaux de survie/bushcraft sont adéquat mais il s’agit des points principaux à vérifier. Je ne veux pas vous conseiller de marque ou modèle en particulier mais je vais quand même en énumérer quelques unes afin d’orienter vos recherches, ainsi les ESEE, les Kabar Becker, les okc, Cold steel et schrade fabriquent tous des lames approprié à cet usage.

Mais pourquoi bâtonner, après tout les haches et hachettes sont accessible?? Il y a plusieurs raisons pour lesquelles bâtonner est une méthode à préconiser dans certaines situations. Premier avantage le poids, transporter un seul outils plutôt que plusieurs est un avantage majeur dans différentes situation; comme par exemple en randonnée. Les risques de blessures moins élevé est selon moi ; un autre facteur à ne pas négliger surtout en situation de survie réelle quand votre vigilance et votre niveau d’énergie ne sont pas à leur meilleur. La fabrication de planchette est très aisée avec cette méthode. Certaine personne ont des difficultés à utiliser correctement une hache pour fendre du bois, le fendre en le bâtonnant est généralement plus facile. D’ordinaire la coupe est plus précise qu’avec une hache, cette méthode serait donc à préconiser pour votre travail de précision.

Tout cela semble convainquant, alors pourquoi ne pas bâtonner???? Cela pourrait parraitre contradictoire, et ce l’est!!! Vous pourriez briser la seule lame que vous avez en votre possession ce qui pourrait être catastrophique dans certaine situation. Une pièce de bois dur et rempli de noeuds ne serait pas non plus appropriés à cette pratique. Vous n’avez pas l’outil approprié en votre possession, bâtonner avec un couteau pliant on encore une lame qui n’est pas pleine soie est généralement courir à la destruction de cette dernière.

En conclusion devrait-t-on bâtonner?? Définitivement oui, selon la situation et en étant conscient que vous pourriez endommager votre lame. Le bon sens est votre meilleur conseil avec cette technique. Et vous bâtonnez-vous?? Laissez le savoir en commentaires vos expériences et avis sur cette méthode.

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Top 6 des outils cartographique gratuit sur le web!!

Comme tout bon amateur de plein air le sait la cartographie est un incontournable lors de la planification de nos activités. En voici un répertoire bien incomplet mais suffisant pour vous aider lors de vos actitivés.

1 – Google Map

Qui ne connait pas le bon vieux Google Map ??? Un classique incontournable selon moi ; un article sur le sujet ne pouvait pas être complet sans une xiême présentation de cet outil bien connu. Il possède un engin de recherche assez puissant vous permettant de localiser à peu près n’importe quoi en un smple clic. Des images satellites mise à jour plus ou moin régulièrement accompagné d’une cartographie style carte routière plutot complète et à jour. Le mode street view permet à l’utilisateur de visualiser la vue qu’il aurait de la rue à cette position; bien que pratique cette fonctionalité est plus ou moin utile dans un contexte de plein air. Google Map vous permet de facilement partager votre position ce qui facilite la planification en groupe. Évidemment le géant nous propose une version mobile sous forme d’application qui peut-être utilisé comme GPS. Un incontournable!!

https://www.google.com/maps/

2 – Bing Map

Un autre outil bien connu de la plupart des utilisateurs; il possède des fonctionalités similaires à celles que possède son concurent Google Map. Dans ce cas quel est l’intérêt d’un tel outils ?? simplement que les photos satellites ne sont pas les memes donc dans certain secteur elles seront plus récente voire plus précise que celle du géant Google et dans d’autres situation ce sera le contraire. À vous de juger de la pertinence de l’utiliser ou pas.

https://www.bing.com/maps

3 – ArcGis

Bien que Arcgis sois une suite de logiciel assez dispendieux bien connu dans le monde de la géomatique et de la cartographie profesionelle il offre tout de même un service gratuit qui peut-être intéressant pour l’amateur de plein air lors de la planification de ses sorties. Un service de cartographie en ligne offrant comme fond de carte de la topographie, des cartes routières , des images satellites qui sont en général assez précise et bien d’autres fond de carte divers. L’intérêt majeur que je portes à ce site est qu’il constitue une autre source d’imagerie satellite qui vous permet de compléter ce que vous avez déja acquis les le service offers par les deux géants.

https://www.arcgis.com/home/webmap/viewer.html

4 – Toporama

Ce dernier quoi que moin connu est tout aussi utile que les derniers outils présenté. Il s’agit de l’atlas topographique du canada; donc vous retrouverez en ligne dans un outil facile d’utilisation les cartes topographique du territoire canadien en entier. Il possède un puissant moteur de recherche vous permettant de retrouver ruisseaux, rivières et lacs par leur nom. D’autres fonctionalités puissante comme l’affichage de la direction de l’écoulement de l’eau, un système de gestion de couche complet ainsi que de nombreux outils de mesures en font un incontournable, et tout ca gratuitement!!

https://atlas.gc.ca/toporama/fr/

5 – Forêt Ouverte

Cet outil est le dernier né de la liste, il est de plus en plus connu du public et est un MUST!! Il couvre le territoire québécois et offre une multitude de couches très variées allant d’image aérienne très précise, jusqu’au cartes écoforestière en passant par les zones écologies, la topographie, une multitude de couches concernant les informations géominières etc etc… Outil qui peut parraitre difficile à apprivoiser à premier abord mais qui se révélera un atout majeur dans la planification de vos activités de plein air.

https://www.foretouverte.gouv.qc.ca/

6 – Le registre du domaine de l’État

Ce dernier outil est selon moi le moin connu de la liste mais il est tout aussi utile puisqu’il contient tout le registre des terres publiques vs celles privé ; en d’autres mots vous voulez savoir si tel ou tel secteur est public, voici le site pour vous répondre (sous la couche domanialité). Le site possède nombre d’autres fonctionalités comme par exemple les numéros de lots au cadastre et le découpage de celui-ci. Il est possible de visualiser ces informations sur un fond de carte de base ou encore sur une image satellitaire. Une inscription est nécessaire pour utiliser le produit, il est toutefois gratuit.

https://appli-s.mern.gouv.qc.ca/Rde/

Bien évidemment ceci n’est pas une liste complète mais un bon échantillonage répondant à la plupart de nos besoins .J’aurais pu présenter énormement d’autres outils comme par exemple le site de la comission de toponymie du quebec, mapcarta ou une panoplie complête d’aplication mobile; ces dernières pourraient d’ailleur faire l’objet d’un article dans le futur!!

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Comment trouver facilement le nord avec le soleil

L’an dernier j’ai fait un vidéo sur comment facilement trouver le nord avec le soleil je vous expose textuellement la méthode utilisé ici. Vous avez perdu votre boussole ??? Votre GPS est mort ??? Votre téléphone cellulaire ne fonctionne plus ?? vous ne portez pas de montre avec aiguilles ?? ou vous avez tout simplement perdu le nord?? Pas de problème il existe pluseiurs méthode simple et efficace afin de retrouver le nord avec le soleil nous en en présentons une ici facile à mettre en oeuvre.

La théorie derrière cette méthode

Le soleil se levant à l’est pour se coucher à l’ouest si on arrive à tracer une droite entre ces 2 périodes du jour on obtien donc un tracé de l’axe est/ouest on peut donc facilement déduire la position du nord et celle du sud.

Mise en oeuvre de la méthode

Comment mettre en oeuvre cette méthode infaillible??? Rien de plus facile!!!

Étape 1 – Planter un baton d’environ 1m de longueur dans un endroit ensoleillé

Étape 2 – Placer un repaire (par exemple un caillou) à l’endroit ou se termine l’ombre projeté par le baton

Étape 3 – Attendez quelques instants, plus longue sera l’attente meilleure sera la précision obtenu; par contre 15 20 minutes sont suffisantes

Étape 4 – Placer un second repaire à l’extrémité de la nouvelle ombre.

Étape 5 – Tracer une droite reliant les repaires de l’étape 2 et 4, cette droite représente l’axe Est/Ouest (le premier repaire indiquant la direction de l’est)

Etape 6 – Il ne vous reste plus qu’a tracer une droite perpenticulaire à celle de l’étape 5 pour déterminer ou se situe le nord et le sud.

Pour ceux qui sont plus visuel et qui voudraient revoir le vidéo que j’avais mis en ligne couvrant ce sujet voici un lien vers celui ci.