Puisque la pêche se déroule en nature et que la nature ne contient pas que des poissons, je me suis permis un petit écart de conduite; afin de vous présenter de petits trésor présent en nature; que vous pourriez récolter lors de vos excursions de pêche printanière. Qu’est ce que dame nature nous permet de récolter au printemps et comment utiliser ces précieuses denrées, voila le but de ce court article sans prétention.
Morille
La morille
Verpes
Le printemps est la saison de toutes les émotions! grosse truites et morilles sont au rendez-vous!! Quel mariage parfait afin de vous concocter de solide repas de roi. Laissez moi vous donner une suggestion en ce sens truite à la morille et asperge, une recette que j’avais déja publié il y a quelques temps sur le blog. Mais oû et comment trouver ces fameuses morilles?? Il faut savoir que la période à laquelle la récolte des morilles est possible est plutôt courte. En général elle ne s’étend que sur quelques semaine; donc il faut être efficace et organisé afin de faire de belles récoltes. Dans mon coin de pays cette période se situe généralement entre le début de mai et la fin mai. La présence du peuplier baumier et du cerisier de pennsylvanie, sont des indice (parmis tant d’autres) que vous devrez vérifier. Terrain sablonneux en pente sont de bons secteur à prospecter; encore plus prometteur si cette pente est orienté sud. Ces petites ne se laissent pas facilement capturer vous devrez avoir le bon oeil ouvert et être très attentif. Bien sur les sites de feu de forêt sont des endroits propice pour découvrir ces petits lutin de la forêt (on appelle celles ci des morilles de feu). Il existe plusieurs variétés de morilles mais ici comme il ne s’agit que d’un survol nous les appellons toutes morilles. Il est de votre responsabilité de prendre plus d’informations afin de vous éviter certains ennuis. Les risques de confusions sont bien présent surtout avec les diverses verpe. Comment les différencier??? facile, le chapeau de la morille est attaché au pied de celle-ci mais dans le cas de la verpe le chapeau n’y est pas attaché. (notez que celle-ci est aussi un champignon comestible quoi que ayant un intérêt gustatif moindre. La photo ci-contre présente un panier rempli de verpes, attention de bien cuire tout les champignons sauvage que vous cueillerez. Le printemps est aussi la saison des gyromitres qui sont à éviter il est donc de votre responsabilité d’être bien capable de les identifier.
Pousse de conifère
Le printemps est la saison de la renaissance, la nature se réveille et bien souvent les hommes aussi!! Donc nouvelle pousse et bourgeon sont au rendez-vous. Savez-vous qu’avec les jeunes pousse de divers conifères, que ce sois le sapin, l’épinette ou même le thuya (généralement appelé cèdre) il vous est possible de concocter toutes sorte de recette les plus intéressante que les autres??? Allant du sirop contre le mal de gorge jusqu’à des vinaigrettes en passant par les diverses gelée, marinade et épices. Rien de mieux pour agrémenter vos repas de gibier. Voici quelques exemples de recettes que vous pourrez effectuer avec ces pousses, la limite étant votre imagination. Vous faites des essais ?? partagez vos résultats avec nous!!
Tête de violon
Qui ne connait pas ces fameuses tête de violon??? Il s’agit en fait de la jeune pousse des fougères, par contre il faut être attentif et faire attention puisque certaine variété de fougère pourraient vous causer des troubles gastrique ou même des intoxications. Vous devrez donc identifier hors de tout doute la fougère de l’autruche (qui est très commune dans nos contrées. Elles ne doivent pas être consommé cru, la marche à suivre est simple, voici un lien vers le site de mapaq qui vous expliquera en détail comment éviter tout problèmes. Une fois le traitement de base effectué vous pourrez conserver vos précieuses au congélateur et les utiliser ultérieurement en salade, en sauté , avec des pâtes ou simplement en accompagnement Elles sont délicieuse.
Plusieurs autres autres plantes peuvent être récolté pendant cette période, entre autre l’ail des bois (plante fragile qu’il faut récolter avec parsimonie en respectant les limites imposées dans certain secteur). Dehors il y a encore de la neige et le temps est mausade espérant que cette courte lecture aide à vous faire patienter. Bonne récolte!!
Si notre forêt est généreuse en plantes et champignonss comestibles elle est tout autant généreuse en plantes toxique sou du moin à éviter pour les non initiés; cet article ne constitue pas une bible des plantes toxique de notre coin de pays mais bien une piste d’indice sur les plantes qui devraient allumer votre méfiance. Plusieurs photos proviennent du web puisque lors de l’écriture de cet article je n’avais pas accès à prendre une photo de chacune d’elles. Elles ne sont pas nécessairement présenté en ordre de toxicité et j’aurais pu en inclure plusieurs autres mais ce sont celles ci qui me sont venu rapidement à l’esprit.
1 – Gyromitre commun (gyromitra esculenta)
Comme vous le savez surement les champignons font parti des “plantes” les plus dangereuse en forêt et une bonne connaissance de ceux ci sont de mise avant d’espérer en faire la cueilette. Ils sont donc à éviter si vous n’êtes pas un cueilleur expérimenté. Nos gyromitres poussent au printemps (lors de la saison des morilles donc une attention tout particulière est de mise lors de la cueillette de ces dernières). Elles ressemblent littéralement à des cerveaux et sont très communs. Ils ont autrefois été considéré comme comestible mais plusieurs intoxication (mortelle dans de rare cas) ont été rapporté. Il contient une substance toxique appellé gyromitrine (qui se décompose en méthylhydrazine lors de la cuisson) qui est hautement toxique et qui en plus est bioaccumulable. L’assimilation par l’organisme de cette toxine est très lente ce qui la rend encore plus sournoise elle provoque dans les cas bénins céphalée, vertiges, douleurs abdominale, diarhée dans les cas plus grave les symptomes incluent des convulsion, hypoglycémie atteinte hépatique et autres… Malgré que certaines personnes consomment encore ce dernier (en appliquant un traitement qui devrait éliminer une bonne partie des toxines) je vous le déconseille fortement.
Plante originaire du Caucase ( de la son nom) introduite par l’homme en Amérique du nord elle est devenu invasive et prend de plus en plus de terrain au Québec. Elle peut-être confondue avec entre autre la berce laineuse qui elle est indigène du Québec et n’est pas considéré comme invasive (malgré qu’elle peut aussi causer une dermatite de contact toutefois moin sévère que celle causé par la caucasienne). Pour facilement les différencier : la berce laineuse comporte sur sa tige peu ou pas de taches rouge et est recouverte de poils blanc et soyeux, la caucasienne tant qu’a elle ne comporte pas ou très peu de poils et possède beaucoup de taches rouge elle est aussi plus grande que son homologue. Elle pousse le long des routes, des fossés et des chemins de fers. La sêve de la berce du caucase cause des brulures sévère (2ieme degré) en contact de la peau qui est exposé au soleil; cause aussi des enflures de la peau et des cloques, il faut donc être TRÈS prudent lors de son éradication . Références : https://www.quebec.ca/habitation-et-logement/milieu-de-vie-sain/reconnaitre-et-eliminer-la-berce-du-caucase/
3 – Herbe à puce (Toxicodendron radicans)
Plante grimpante originaire d’Amérique du nord, donc très commune dans nos contrés; elle pousse en colonie plutôt dense dans les champs, les forêts autant dans les milieux ombragé, ensoleillé, sec ou humide bref on peut la retrouver un peu partout en milieu forestier et urbain. Elle cause des dermatites de contact assez violente il est donc impératif d’éviter tout contact avec cette dernière. Vous pourrez la reconnaitre grace à ses feuilles lustré trilobée, en été elle produit des grappes etdes petites fleurs blanche; ses fruits sont globuleux et cireux blanc jaune. Références : http://www.fleursduquebec.com/encyclopedie/1950-herbe-a-puce.html
4 – Sanguinaire du canada (Sanguinaria canadensis)
Malgré une utilisation médicinale ancestrale de cette plante elle demeure fortement toxique et provoque des vomissements, des brulures au niveau des muqueuse ,des troubles cardiaque et visuel tout ca pouvant mener jusqua la mort elle est donc à proscrire à moin que vous ne sachiez VRAIMENT ce que vous faites… Elle pousse surtout dans les milieux rocheux, le sol des érablières bref on la retrouve surtout parmis les feuillus; les abeilles l’affectionnent tout particulièrement puisqu’elle est méllifère. On la reconnait facilement grace à son unique feuille émergant du sol et sa fleur composé de 2 pétales verte et d’une quinzaine de pétales blanche. Référence : https://afsq.org/wp-content/uploads/2017/07/sanguinaire_du_canada-fiche.pdf
5 – Amanite vireuse (Amanita virosa)
Un autre membre de la famille des fungi et non le moindre le très connu ange de la mort; cette amanite blanche et gracieuse cache sous cette apparence innofensive une toxicité extrême. On la retrouve en forêt sous conifères et feuillus et parfois même sur vos gazons. Il est à noter que la lépiote lisse peut parfois être confondu avec cette dernière (et certains agaric dans une moindre mesure) une attention toute particulière doit donc être porté lors de la cueillette de ces lépiote. Elle est d’un blanc immaculé doté d’un anneau fragile lui aussi blanc tout comme ses lames d’ailleurs, comme toute les amanites elle possède un volve (ce qui permet de la différencier de la lépiote lisse). Elle cause un synfrome phallodĩen tout comme l’amanite phalloĩde ce qui se traduit par de forte nausée , douleurs grastrique violente, diarhée et se termine par la mort dans plusieurs cas. Vous devez donc apprendre à identifier cette amanite avec certitude afin de l’éviter. Référence : https://www.mycoquebec.org/bas.php?post=amanite&l=r&nom=Amanita%20virosa%20sensu%20auct.%20amer.%20/%20Amanite%20vireuse&tag=Amanita%20virosa&gro=13
6 – Houx verticillé (Ilex verticillata)
Un houx sans épines dont les feuilles tombent l’hiver et indigêne au Quebec?? ehh oui ca existe il s’agit du houx verticillé par contre ses fruits rouge demeurent sur ces branches une bonne partie de l’hiver. Malgré son utilisation médicinale ancestrale cette plante est à éviter car ses fruits contiennent de la théobromine un composé analogue à la caféine causant des vomissement, diarhée parfois violente de fortes crampes intestinale, l’ingestion d’une grande quandité de fruits pourraient causer le coma voire même la mort. Rérérence : http://www.parcdesfalaises.ca/index.php/la-flore-du-massif/plantes-toxiques/houx-verticille/
7 – Ortie dioĩque (Urtica dioica)
Qui ne connait pas la fameuse ortie commune?? ou grande ortie?? Malgré que cette plante est comestible et succulente, comporte plusieurs propriétés médicinale intéressante elle est à faire attention puisqu’elle est urticante; c’est à dire que le contact avec cette dernière provoquera des déangeaisons assez désagréable. Elle pousse un peu partout en ville, les terrains vague, le long des batiments , les cimetieres etc… Apprenez à l’apprivoiser elle n’est pas si méchante qu’elle ne le parrait!! Référence : https://www.agrireseau.net/agriculturebiologique/documents/guide-ortie.pdf
8 – Cicutaire maculée (Cicuta maculata)
La fameuse carrote à moreau probablement la plante la plus toxique du Québec et même de l’Amérique du nord!! PLante indigène elle peuple les fossés, les marais et les prairies. ATTENTION CAR LORSQU’ELLE N’EST PAS EN FLEUR ELLE PEUT-ÊTRE CONFONDUE AVEC LA CAROTTE SAUVAGE!! Tige marqué de lignes pourpre, fleurs blanche et en ombelle , feuilles alternes,foliole lancéolée et dentée. Empoisonnement soudain et violent : douleur à l’estomac, nausée, difficulté respiratoire, écume à la bouche, convulsion et inconscience sont quelques-un des symptomes d’intoxication à la cicutaire .. intoxication qui se termine souvent par une mort en quelques heures. Il est donc impératif de bien apprendre à l’identifier . Référence : Flore laurentienne 3ieme édition, Frère Marie-Victorin
9 – If du canada (Taxus canadensis)
Buis du sapin ou encore sapin trainard ressemble littéralement à des branches de sapin sortant du sol très commun dans la forêt boréale. Fut longtemps récolté car il contient une substance appellée paclitaxel qui est reconnu pour arrêter la division mitotique des cellules cancéreuses. Cette substance est maintenant synthétisé ce qui en rend la récolte beaucoup moin commune (et elle requiert un permis du moin sur les terres publique). Les aiguilles, les rameaux et les graines sont hautement toxique (par contre la chaire du fruit ne l’est pas mais vous ne DEVEZ PAS MANGER LA GRAINE) les symptomes d’une intoxication à l’if comptent des vomissements, une diarrhée, des crampes abdominales, des vertiges, et même des hallucinations…
10 – Apocyn à feuilles d’androsème (Apocynum androsaemifolium)
On retrouve ce dernier en sol bien drainé, en lisière de forêt, en prairies le long des routes et en milieu perturbé. Elle est indigène au canada et est aussi appellé herbe à la puce. Elle est facile à reconnaitre grace à ses nombreuses petites fleurs en forme de cloche qui servent de piege pour capturer bon nombre d’insecte; ehh oui il s’agit d’une plante carnivore. Le contact avec la peau cause des irratations cutanées qui sont toutefois moin violente que celles causée par la véritable herbe à puce, mais elle demeure tout de même à éviter. Toxique lorsque ingéré “… Les doses excessives provoquent généralement des vomissements et des diarrhées. Sinon, l’intoxiqué est étourdi, voit les objets en vert ou en jaune, exsude des sueurs froides et urine beaucoup. Son coeur ralentit et la mort survient après des convulsions.» (Fleurbec, 1981. Plantes sauvages comestibles, p. 39 ) De plus ces pousses ressemblent énormément à celles de l’asclépiade et poussent au même moment il est donc bien important d’en faire la différence.
Si on décompose le mot ethnobotanique on en comprend plus aisément le sens. Ethno pour le peuple, les hommes, la collectivitée et botanique la science qui étudie les plantes. On peut donc facilement conclure que l’ethnobotanique est la science qui étudie la relation entre les humains et les plantes.
Même si nous ne le réalisons pas toujours, l’ethnobotanique touche à nos vie et ce souvent de façon quotidienne. Avec le rythme de vie effréné que nous impose la vie moderne il nous est facile d’oublier et de se distancer des plantes; et encore plus les espêces sauvage. Par contre souvent ces mêmes plantes se retrouvent dans notre alimentation, nos médicaments, dans nos produits de beauté et même dans nos produits ménager. L’impact de la vie moderne à causer une grande perte de connaissances et une rupture presque totale pour plusieurs d’entre nous avec les plantes de notre environnement. Cependant qu’on le veuille ou pas notre vie n’est jamais bien loin de l’ethnobotanique.
Tout au long de l’histoire de l’évolution humaine nous pouvons retracer le progrès de l’utilisation des plante par nos ancêtres. Même certaine espèces animales utilisent certaine plantes dans un but différent que celui de se nourrir; par exemple les castors qui utilisent les arbres pour fabriquer leurs barrages. L’utilisation des plantes comme médicament et comme outils de tout les jours remonte aussi loin qu’à l’âge de pierre, ce qui en fait une part entière de notre mode de vie. Au fur et à mesure que l’homo erectus prend de l’expansion territoriale au-delà des zones tropicale et subtropicale un environnement différent avec des zones climatiques aux conditions plus modérés, sa connaissance des plantes fait elle aussi un bond gigantesque et il intégra l’utilisation de plus en plus de nouvelles variétés de plantes. Dans les 2 millions d’années qui suivirent la connaissances engloba de plus en plus de plantes différentes et encore plus d’usages différents de ces dernières.
Les peuplades ancienne tout autour du monde utilisèrent les plantes qui se retrouvaient dans leur environnement immédiat, acquérant chacun de leurs côté de précieuses connaissances différentes. Comme l’occident et sa culture se développa la forte connection que l’humain entretenait avec la nature et les plantes devins de moins en moins mise en évidence. Toutefois l’ethnobotanique a de nouveaux été mit de l’avant au cours du 19iême siècle grace à l’exploration et à la découverte de nations aborigènes et d’échanges avec ces dernières. Les sociétés ancienne tout au long de l’histoire ont utilisé ces plantes comme monnaie d’échange, vêtements, médicaments, nourriture, matériaux de constructions, article de rituels et comme teinture. Ces plantes n’ont pas seulement été utiliser pour survivre mais bien d’une façon de promouvoir leur cultures.
Peu importe où vous concentrez vos études sur l’histoire de l’ethnobotanique, chaque zone climatique, continent et même région aura une histoire différente à vous raconter. La prise de conscience et les connaissances sur l’efficacité des plantes comestibles et médicinales a eu lieu pendant de nombreux siècles de lutte contre la famine et la maladie. Chaque culture existante sur terre a une histoire, une relation différente avec toute une panoplie d’espèces végétales et de leurs utilisations. Des écorces d’arbres, des graines, des fruits et plus encore, les humains ont toujours cherché à résoudre ces problèmes et la nature nous a constamment fourni les outils pour le faire, et ce très efficacement.
Dans sa version moderne l’ethnobotanique a plus mis l’emphase sur la collection de toutes ces données, les organiser en liste complète dans des bases de données facilement consultable. Le focus est plus orienté méthodologie; toutefois même dans notre monde “moderne” l’usage ancestral des plantes demeure et certain ancien de tribu ont bien de la difficultés à vouloir partager leur savoir.
Des plantes qui traitent les problèmes de peaux jusqu’au fruit utilisé pour les problèmes intestinaux, il y a des milliers de plantes ayant chacune des propriétés et usages différents en fait il y en a assurément trop pour toutes les nommer. Mais je peux sans me tromper affirmer que l’ethnobotanique à fait de l’homme un être intelligent se démarquant de bien d’autres espèces. Notre curiosité implacable et notre aptitude à bien observer notre environnement ont démontré que nous pouvions apprivoiser avec succès l’environnement qui nous entoure et l’utiliser afin d’atteindre des buts variés et plus encore.
Avec notre mode de vie moderne il y a une multitude de façon de se rapprocher de l’ethnobotanique. Faire pousser ses propres plantes et en faire le meilleur usage possible autant comme nourriture que comme médicament est une façon fantastique d’aborder et de comprendre l’ethnobotanique. Par contre afin d’expérimenter tout ceci un peu plus comme nos ancêtres le faisaient nous devront aborder ca avec une approche plus bushcraft; apprendre à survivre en nature sauvage est une méthode extraordinaire de ne faire qu’un avec la nature et ainsi mieux apprivoiser divers aspects de l’ethnobotanique. Notre habitat naturel n’étant pas les villes et les villages dans lesquels nous vivons mais bien la nature sauvage que nos ancêtres ont su apprivoiser, avec brio il faut le dire. Un retour à la nature est la meilleure façon d’apprendre et d’expérimenter les bienfaits que ces plantes peuvent nous apporter; et ce même s’il ne sagit que des plantes de notre jardin.